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Semeurs de panique - Répétition publique 

[Cie Elvis Atalac ]

Théâtre de marionnettes à voir dès 7 ans.

👉 Vendredi 2 mai à 17h00 au théâtre de Thouars

👉 Gratuit, réservation conseillée

Je suis 52  - magie/théâtre

[Cie Yvonne III ]

Avec Je suis 52, Claire Chastel nous plonge dans une histoire d’amour intense où les cartes prennent vie et corps. A travers les tours et les mots, les spectateurs se connectent avec les cartes, avec Claire et entre eux pour un moment intime et magique sensible et doux, surprenant et passionné. Suspens assuré ! 

👉Vendredi 16 mai à la salle des fêtes de Massais à 20h30

👉Samedi 17 mai à la salle des fêtes de Tourtenay à 20h30

👉 Tarif A, en abonnement

Distro  - danse contemporaine houblonnée

[Cie C'hoari ]

Issues de la danse contemporaine, Nolwenn et Pauline – chorégraphes et interprètes de la Cie C’hoari- s’interrogent sur leur héritage culturel breton et, à travers le mouvement, s’intéressent à ce qui rassemble les gens, à ce qui provoque la rencontre et ce qui la nourrit. Après le Fest-Noz dans leur première pièce Tsef Zon(e), elles ont choisi, dans Distro ("retour" en breton), d’explorer le monde des bars populaires et de questionner leur rôle social.

La veille, la Cie C’hoari présentera au MZ, Barrez, une forme in-situ de Distro.

👉Samedi 31 mai dans la cour de l'école Ferdinand Buisson (Thouars) à 18h30 

👉 Tarif A, en abonnement

- 𝐃𝐄𝐁𝐎𝐔𝐓 𝐏𝐎𝐔𝐑 𝐋𝐀 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄 -

✊ Tout le monde debout pour défendre la culture ! 

Les coupes budgétaires de l’Etat et des collectivités plongent le service public de l’art et de la culture dans une situation alarmante.

Chaque fois qu’une coupe de 20.000 euros est annoncée, c’est l’équivalent d’un emploi permanent dans une structure culturelle ou d’un emploi artistique, technique ou administratif intermittent, qui est menacé de disparition.

A chaque perte d’emploi, c’est l’accès à l’art et à la culture qui recule pour toute la population française. C’est moins de créations, moins de représentations, moins d’éducation artistique dans les établissements scolaires, moins d’interventions culturelles auprès des habitants.

A chaque perte d'emploi, les risques augmentent de cessation d’activité des équipes artistiques et des lieux qui nous permettent de nous réunir et de faire débat.

Le contexte d’austérité budgétaire ne peut pas occulter les menaces qui planent sur notre démocratie. C’est pourquoi nous disons que sacrifier les services publics, dont celui de l’art et de la culture, est un calcul dangereux au regard des grands bénéfices sociétaux qui en découlent. Que l’État consacre 0,8 % de son budget à cette politique publique est déjà largement insuffisant pour répondre aux besoins exprimés par la population et par les professionnels.

Aussi, nous toutes et tous, bénéficiaires du service public de l’art et de la culture, publics, artistes, technicien.ne.s, salarié.e.s et directeur.ices de lieux, nous nous tenons debout, ensemble, pour affirmer notre besoin d’une culture vivante qui stimule les imaginaires, partage les savoirs, reflète notre diversité et favorise le bien vivre ensemble.

👉Appel à soutien en ligne ! Vous trouverez le lien ci-dessous :

https://change.org/deboutpourlaculture